Hypothermie, d'Arnaldur Indridason

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Un soir d'automne. Maria est retrouvée morte dans son chalet d'été sur les bords du lac du Thingvellir ; après autopsie, la police conclut à un suicide. Quelques jours plus tard, Erlendur reçoit la visite de la meilleure amie de Maria qui lui remet une cassette. Elle contient l'enregistrement d'une séance chez un médium que Maria était allée consulter pour entrer en contact dans l'au-delà avec sa mère : avant de mourir, cette dernière lui avait promis de lui envoyer un signe pour lui faire savoir s'il y a quelque chose après la mort. L'audition de la cassette convainc Erlendur de reprendre l'investigation à l'insu de tous.

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   Un épisode plus mélancolique des enquêtes du commissaire Erlendur, encore plus mélancolique qu'elles ne l'étaient déjà. J'aime toujours me plonger dans les livres d'Arnaldur Indridason, dépaysants et désabusés. C'est une Islande presque exotique qu'on y découvre à chaque fois, ne serait-ce que par les toponymes ou les mets qui font le délice du commissaire - malgré tout, la gourmande que je suis ne salive pas : saucisse de foie surette, macareux, paupiettes et "un peu de pâté de tête qu'il conservait dans du petit-lait sur son balcon", miam (ou plutôt, gloups).
   Le nouveau vient de sortir. J'ai hâte de le lire même si c'est un volume où Erlendur, parti en congés, est absent ; c'est Elinborg, l'une de ses collègues, qui prend les rênes de l'enquête !

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* Psssst, pensez aussi à tenter votre chance pour les quatre ans du blog !

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