Miscellanées #6
Balzac et la petite tailleuse chinoise, de Dai Sijie (2000)
Le mystère Giotto, d'Iain Pears (1995, traduit en 2003 par G.-M. Sarotte)
(roman policier évoluant au sein du monde de l'art)
Léviathan, de Paul Auster (1996)
(ou comment un auteur à succès des années Reagan en est venu à faire sauter les répliques de la statue de la Liberté)
Le livre des illusions, de Paul Auster (2002)
Les chroniques de San Francisco, d'Armistead Maupin
L'élégance du hérisson, de Muriel Barbery (2006)
L'affaire Raphaël, d'Iain Pears (1991, traduit en 2000 par G.-M. Sarotte)
Le Portrait, d'Iain Pears (2005)
Une nouvelle façon de lire ; je me suis rendue compte que je me tournais uniquement vers des classiques, classiques le plus souvent de langue française, et que j'en avais perdu mon ancienne relation au livre : celle qui ne me faisait dormir à minuit passé qu'après avoir enfin lu les derniers mots du bouquin, celle qui m'en faisait lire plusieurs par semaines, à raison parfois d'un livre par jour (pendant les vacances, on est bien d'accord). Désormais, ma relation au bouquin relevait d'un rapport presque scolaire, je lisais un bouquin parce que je me disais qu'il me faudrait l'avoir lu (question de culture personnelle) et j'essayais même à chaque fois de prendre des notes, ce qui n'est pourtant pas toujours le plus agréable dans l'affaire.
Alors j'ai décidé début août de me tourner vers tous ces livres dans lesquels je ne pensais me plonger qu'après avoir lu tous ces "incontournables", vers tous ces livres que je pensais lire pour mon bon plaisir et rien d'autre mais quand les poules auraient des dents.
Et puis j'ai décidé aussi que ça en devenait dommage que je me restreigne à un livre à la fois... C'est pourquoi :
:: En cours de lecture ::
à la fois L'amant de Lady Chatterley de DH Lawrence, England, England de Julian Barnes et L'hôtel hanté de Wilkie Collins.
:: Vus ::
Les dames du bois de Boulogne, de Robert Bresson (1945)
(avec pour costumière Elsa Schiaparelli et dans le rôle d'Hélène la glaçante Maria Casarès)
Harold et Maud, d'Hal Ashby (1971)
(un film qui n'a pas été celui que je croyais, une belle surprise en définitive)
Manhattan, de Woody Allen (1979)
Harry, un ami qui vous veut du bien, de Dominik Moll (2000)
Wall-e, des studios Pixar (2008)
(hautement recommandable)
Le péril jeune, de Cédric Klapisch (1995)
La dame de Shanghai, d'Orson Welles (1948)
Moi, toi et tous les autres, de Miranda July (2005)